L'impact de la végétation urbaine sur la qualité de l'air a aussi une valeur monétaire. Pour la ville de Barcelone, on estime que la nature urbaine fixe chaque année 166 tonnes de particules fines (PM10), ce qui correspond à 22% des émissions de poussière occasionnés à l'intérieur de la ville. Ce service écosystémique correspond à un bénéfice monétaire annuel de 1,1 million USD (Kowarik et al. 2016).